Mon chemin de Compostelle
Rencontres étonnantes, parfois détonantes, mais jamais indifférentes et toujours enrichissantes.
Échanges sur le chemin des autres.
Un bout de chemin avec l’un, un bout de chemin avec l’autre. Tranches de vie.
Un voyage qui conduit au fond de l’inconnu, l’autre : aller vers l’autre, pour trouver du nouveau, s’enrichir de ses expériences, de nos ressemblances et de nos différences pour mieux s’accepter et s’améliorer, capter les énergies de l’autre et prendre conscience des siennes pour avancer.
Le chemin est un incroyable vecteur de sociabilité où se réalise un vrai brassage humain qui transforme le voyageur.
Pause. Un moment de solitude à s’évader dans ses pensées, à plonger à l’intérieur de soi-même.
Nous nous retrouverons peut-être un peu plus loin, un peu plus tard, ou peut-être jamais. Compagnons de route, compagnons d’un instant, ou compagnons d’une vie.
Rien ne sépare ceux qui font le chemin quels que soient le sens et la valeur qu’ils y attachent, même s’ils ne n’en rapportent pas tous la même conclusion.
Voici la mienne : en partant sur le chemin, je ne cherchais rien mais j’ai trouvé, comme une évidence, qu’il n’y a pas de chemin, « Caminante, no hay camino,
Se hace camino al andar » Antonio Machado
Le chemin se fait en marchant. Et moi, je continue.